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Comment choisir son matelas

Après le sommier, attardons-nous à présent sur un autre élément essentiel qui constitue le lit : le matelas.

Étant en contact direct avec le dormeur, le matelas est la pièce maîtresse du système de couchage.

Même si nous couvrons ici les fondamentaux généraux du matelas en tant qu’une pièce nécessaire au confort du sommeil, nous avons une préférence pour les matelas bios comme le matelas en laine.

Qu’est-ce qu’un matelas ?

Le matelas est un élément de literie constitué par un grand coussin rembourré, généralement posé sur un sommier et sur lequel nous nous étendons et dormons.

Henry Havard définit déjà en 1894 le matelas comme une sorte de grand et très ample coussin, qui tient toute l’étendue de la couchette, et qu’on a fait de coton, de laine, de crin, de bourre ou même de laveton et de mousse, et qui est enfermé entre deux toiles de coutil, de l’utaine ou d’étoffe plus précieuse.

Le matelas doit pouvoir concilier des comportements en partie incompatibles entre eux.

Pour ce faire les fabricants de matelas panachent les matériaux, et empilent différentes couches.

Il est conçu pour offrir un soutien et un confort pour les personnes qui s’y allongent.

Il existe de nombreuses marques et modèles de matelas sur le marché.

Il est important de prendre le temps pour choisir un matelas qui convient à vos besoins et à votre style de sommeil.

Quels sont les types de matelas ?

De nombreuses catégories de matelas existent sur le marché suivant les matériaux utilisés pour sa fabrication.

Il existe 4 catégories principales de matelas :

Le matelas par obturation

Ils peuvent être une option pour ceux qui cherchent des matelas écologiques et hypoallergéniques.

Les types de matelas par obturation

  • le matelas en laine
  • le matelas en coton
  • le matelas avec d’autres fibres naturelles comme la soie ou la plume

Le matelas en mousse

Il en existe une multitude.

De la mousse médiocre dite polyéther à faible densité à la mousse HR soja 60 kilos, un gouffre existe.

Les mousses polyéthers sont des mousses d’ameublement, à cellules fermées, donc chaudes. Elles peuvent atteindre aussi 40 à 50 kilos par M3 de densité (ce qui signifie qu’un bloc d’un mètre sur un mètre sur un mètre pèse ce poids-là). Bien noter que densité n’est pas égal à fermeté.

Les meilleures mousses et les plus utilisées sont les mousses polyuréthane ou haute résilience. Des mousses cette fois-ci à cellules ouvertes comme celles utilisées par les marques de matelas uniques qui restent dans le bas de la fourchette avec des mousses de 35KG/M3.

Ensuite les mousses atteignent les 40, 45, 50 ou encore plus 60KG de densité, elles sont beaucoup plus résistantes et bien plus chères. Enfin, celles qui contiennent de l’huile végétale à la place d’une partie de pétrochimique (ricin, soja…) dans la composition, sont plus “vertes” et coûtent encore plus chères, notamment grâce à l’extrême salubrité des produits qui en découlent.

Un matelas 140x190cm en mousse peut donc ainsi valoir entre 100 euros et 2000 euros, l’écart peut paraître immense, mais l’écart en qualité et coût de fabrication l’est tout autant.

Oui c’est surprenant, mais il faut comprendre que la R&D; réalise des prouesses en produisant de véritables bijoux en mousse surclassant les autres technologies.

Ils sont généralement plus légers et plus silencieux que les matelas à ressorts.

Les types de matelas en mousse

Ils sont fabriqués à partir de différents types de mousse.

Il existe 3 types de matelas en mousse :

  • Les matelas en mousse polyéther
  • Les matelas en mousse polyuréthane
  • Les matelas en mousse à mémoire de forme

Le matelas à ressort

Comme pour les mousses, il en existe une multitude.

Le ressort a la réputation de passer à travers les matelas et de faire mal au dos…

C’était vrai avec les traditionnels “Bonnell” qui ont depuis été remplacés par de superbes inventions dont les nouvelles formes qui ont joué un grand rôle en faveur du confort.

Ainsi, le plus connu aujourd’hui, le ressort ensaché a bonne presse. Pour cause, il est plat en-dessous et au-dessus, ce qui provoquera un affaissement avec la vétusté plutôt qu’une perforation de carénage.

Les industriels ont donc établi une course au nombre de ressort pour juger qui aurait le meilleur matelas.

Si les mousses se comparent avec des densités, les ressorts sont senssés se comparer avec leurs nombres…

Oui, c’est presque vrai, 2 matelas identiques en 140×190 composé d’une part de 550 ressorts ensachés et d’autre part de 750 ressorts ensachés ne seront pas aussi résistants, avantage donc au 2eme !

Cette logique ne doit pas baculer dans l’excès. Si un matelas à ressort insère 2500 bigoudis sans utilité en termes de confort, englobé dans des mousses faiblement denses de 30 à 35 kilos/M3, est-ce plus qualitatif qu’un matelas à de 650 véritables ressorts ensachés dans un carénage de 45 KG/M3 ? La réponse est évidemment non.

Pourtant beaucoup achèteront le marketing du premier pensant qu’il est mieux.

Les brevets déposés pour les ressorts sont nombreux :

  • les multiactifs d’Epeda
  • cross-system de Simmons
  • pullman de Treca

Ils sont autant de belles références garantissant robustesse aux produits.

Certains de ces matelas ne pourront pas être comparés entre-eux car particulièrement bien pensés et combinés, ils seront les seuls à présenter ce type de caractéristiques, il appartiendra au consommateur de faire le bon choix.

Ils sont généralement plus lourds et plus bruyants que d’autres types de matelas.

Les types de matelas à ressorts

Les matelas à ressort sont divisés en 2 catégories :

  • Les matelas à ressorts ensachés : Ces matelas sont remplis de petits ressorts indépendants enveloppés dans des sacs en tissu. Chaque ressort peut bouger indépendamment des autres, ce qui peut offrir un soutien plus ciblé et une meilleure répartition de la pression.
  • Les matelas à ressorts hélicoïdaux / biconiques : ces matelas sont remplis de ressorts en acier en forme d’hélice qui sont reliés les uns aux autres pour offrir un soutien ferme et une bonne circulation de l’air. Ils sont généralement plus lourds et plus bruyants que les matelas à ressorts ensachés.
  • Les matelas à ressorts ensachés à double couche : Ces matelas combinent les avantages des matelas à ressorts ensachés et hélicoïdaux, avec une couche de ressorts ensachés sur le dessus et une couche de ressorts hélicoïdaux en dessous pour offrir un soutien et un confort supérieurs.

Il est important de noter que les matelas à ressorts peuvent être conçus de différentes manières et que les caractéristiques et le confort varieront d’un modèle à l’autre.

Le matelas en matelas en latex

Issue du lait d’hévéa principalement importé principalement d’Asie, il existe différentes gammes de latex.

Le moins cher est une espèce d’aggloméré nommé “polylatex” qui concentre des chutes de latex en noyau.

Cette matière bas de gamme donne le ressenti d’un latex, porte pratiquement le nom “latex” mais n’est en rien du latex.

Viennent ensuite les latex synthétiques que les vendeurs et revendeurs n’appelleront jamais “synthétique”, non, cela serait trop simple pour s’y retrouver.

Ils diront des “matelas 100% latex” ce qui signifie que c’est du latex…

Le latex, c’est du caoutchouc et plusieurs adjuvants issue de la pétrochimie + transformation de polymères rendant le prix et la qualité plus médiocres que bien des mousses.

Les densités des matelas latex de ce type sont comprises entre 60 et 85 kilos par mètre cube, ils tiennent plutôt chaud et peuvent causer de rares allergies.

Les prix varient car ils sont parfois associés à d’autres technologies (mousses, ressorts…). Une norme de literie précise que si le matelas contient plus de 85% d’hévéa liquide (donc de véritable latex avant vulcanisation) ce latex peut porter la dénomination “latex naturel” ou pour ceux qui exagèrent “100% latex naturel”…

Quoiqu’il en soit, c’est le cas de tout matelas avec un cœur d’au moins 10 CM et que ce noyau occupe au moins 60% de l’espace interne du matelas, les densités des matelas en Latex naturel varient entre 75 et 95KG/M3.

Ces densités sont « brutes », lors des perforations de la matière est retirée ce qui donne des densités nettes légèrement inférieures.

Les quelques pourcents ajoutés au lait d’hévéa liquide sont des agents de charge, des agents vulcanisant, dont zinc et souffre, ces derniers sont obligatoires pour la formation dure du noyau en latex.

Les types de matelas en latex

Il existe 2 types de matelas en latex :

  • Les matelas en latex naturel
  • Les matelas en latex synthétique
  • Les matelas en latex mélangé : ces matelas sont fabriqués à partir d’un mélange de latex naturel et synthétique.

Les autres familles de matelas

Elles sont moins connues du grand public mais répondent à certains besoins.

Les matelas à eau

Ce type de matelas est constitué d’une poche de vinyle remplie d’eau qui est recouverte d’une ou plusieurs couches de mousse.

La poche d’eau est structurée de telle sorte que l’eau ne s’efface pas complètement sous le poids du dormeur.

Ce type de matelas peut représenter une solution pertinente dans certains scenarii bien précis :

  • pour les personnes souffrant de mal de dos
  • pour la relaxation

Les matelas hybrides

Les matelas hybrides sont des modèles qui mélangent plusieurs matériaux.

Quelques exemples de matelas hybrides courants :

  • un mélange de matelas en mousse et de matelas en laine
  • un mélange de matelas en mousse et de matelas à ressorts ensachés

Connaître les différentes catégories de matelas qui existent sur le marché est une première étape pour établir un panel des expériences de couchage possibles.

Selon les matériaux naturels ou/et synthétiques utilisés, le matelas présente des propriétés viscoélastiques plus ou moins avancées. La mémoire de forme de celui-ci est différemment développée selon les modèles :

Nous avons d’ailleurs mis à votre disposition des évaluations comparatives entre les différents types de matelas :

La composition d’un matelas

Les matelas les plus couramment fabriqués sont constitués de :

  • Mousse
  • Ressorts
  • Latex
  • Ouate de polyester
  • Laine
  • Coton

Ces matériaux sont généralement structurés en 3 parties :

  • l’âme
  • la couche de contact
  • la couche d’interface

Chacune de ces parties se compose d’un matériau simple (composition simple) ou d’une combinaison de différents matériaux (composition hybride).

La composition définit le type du matelas.

Quand vous comparez les compositions, pensez bien à évaluer chaque couche.

Les fonctions du matelas sont différentes suivant les matériaux que constituent ces 3 trois couches. La composition du matelas est ainsi très importante dans la définition du confort de ce dernier.

La composition du matelas, pourquoi est-ce important ?

La composition du matelas a un impact plus au moins déterminant sur 7 des 9 paramètres de confort à considérer pour orienter le choix du lit vers ce qui vous convient le mieux.

  1. la hauteur d’assise
  2. l’accueil
  3. le maintien ou le soutien
  4. le rebond ou la suspension
  5. l’isolation thermique
  6. la régulation hygrométrique
  7. la mobilité de la surface de couchage

Ces caractéristiques du matelas diffèrent en fonction des matériaux qui composent le matelas.

Chacun de ces matériaux ayant des propriétés et des qualités différentes, le type de confort du produit fini n’est pas le même.

C’est le coût des matériaux utilisés dont les qualités sont assez disparates qui influencent largement le prix du matelas.

Quid de l’indépendance de couchage ?
La composition a aussi de l’influence sur l’indépendance de couchage du matelas.

La structure du matelas

L’architecture typique d’un matelas moderne est un sandwich. Les couches successives sont les suivantes :

  • première couche : un molleton surpiqué avec le coutil qui enveloppe l’ensemble
  • deuxième couche : une interface entre la première couche et la couche centrale
  • troisième couche : une couche centrale qu’on appelle l’âme composée de la matière principale

Et comme il y a deux faces sur un matelas, il faut donc cinq couches successives :

  • couche de contact avec le coutil
  • couche d’interface (ou interface)
  • âme (matière principale)
  • couche d’interface (ou interface)
  • couche de contact avec le coutil

À chaque contact d’une couche avec une autre, le fabricant joue sur un effet dioptrique pour modifier à la fois le chemin d’absorption et de diffusion de l’énergie (étalement, concentration), en travaillant sur:

  • la vitesse d’enfoncement
  • l’amplitude
  • la rémanence de chaque matériau de l’un par rapport à l’autre, et ainsi de proche en proche

La complexité de la structure du matelas impacte la qualité de literie visée (pour le meilleur et pour le pire) qui fait ensuite varier le prix.

Pour un matelas bon marché, l’architecture est différente. Elle est réduite à une couche de contact minimale, avec uniquement le coutil qui emballe une âme. Elle est constituée d’un simple bloc de mousse ou d’une carcasse à ressort.

À l’inverse, les fabricants de matelas sophistiquent à l’excès la stratification de leurs matelas qu’ils qualifient de « haut de gamme ».

Chaque couche est elle-même composée de plusieurs couches. Parfois, ils spécialisent chaque face du matelas, en intégrant, par exemple, un surmatelas au matelas lui-même.

Concernant les matelas traditionnels, tels que les paillasses (appelées aujourd’hui futons), les nattes, rien de tout ce qu’est décrit ci-dessus ne s’applique.

En fonction des régions, des matières, des traditions locales, des savoirs faires du fabricant, il y a une telle diversité que je ne m’engagerais pas dans cette voie.

Pour en savoir plus sur le matelas de laine tel qu’il se pressente en France.

La couche de contact

Cette première couche par son contact avec le dormeur joue un rôle essentiel sur la sensation de confort ou d’inconfort que l’on ressent dès qu’on se couche : c’est l’accueil.

L’accueil fait partie des 9 critères de confort du lit à observer pour choisir son matelas.

Et selon les ou les matériaux employés, cette première couche sera déterminante aussi pour obtenir une caractéristique propre d’isolation thermique et de régulation hygrométrique.

Le ou les matériaux qui composent le molleton surpiqué et leur quantité vont influer.

Les fabricants donnent comme mesure une valeur en kilogramme par m2 de la quantité de matériaux dans cette première couche. C’est en fait une densité:

  • Plus cette densité est importante et plus il y a de matières, puisque la surface du matelas ne change pas.
  • Plus il y a de matière par unité de surface et plus la couche obtenue sera épaisse.

Mais plus ne veut pas dire mieux, et inversement… Ainsi, avec un feutre, mieux vaut utiliser une couche la plus fine possible. À l’inverse, une couche trop fine d’un molleton de coton fera perdre le bénéfice de recourir à ce matériau.

La couche d’interface ou l’inface

La couche d’interface, comme son nom l’indique, transmet l’énergie produite par le poids du corps qui repose, telle qu’elle est recueillie par la couche de contact.

Mais elle retransmet aussi l’énergie dû à la réaction de l’âme vers la couche de contact, et donc en direction du dormeur.

Cette transmission repose sur quatre principes : retenue, amplification, diffusion et concentration

  • Retenir : c’est accumuler l’énergie sans la restituer, ni vers l’émetteur ni vers le récepteur.
  • Amplifier : c’est transmettre plus d’énergie vers le récepteur que l’émetteur n’en a produit (cas typique le rebond)
  • Diffuser : c’est répartir l’énergie en direction du récepteur sur une surface plus grande que celle par laquelle l’émetteur l’a transmise.
  • Concentrer : c’est ramener l’énergie en direction du récepteur, vers une surface plus petite que celle par laquelle l’émetteur l’a transmise.

L’âme du matelas

C’est le moteur du matelas qui assure le soutien principal du dormeur sur la totalité du matelas.

Ce noyau occupe au moins 60% de l’espace interne du matelas. C’est la matière principale du matelas.

C’est là que toute l’énergie générée par la masse et les mouvements du dormeur va aboutir, être absorbée, se dissiper, ou être en partie restituée.

En général, c’est un bloc homogène comprenant:

  • mousse
  • latex
  • carcasse à ressort
  • ressorts ensachés
  • etc…

Concernant les produits qualifiés de “haut de gamme”, les fabricants de matelas proposent une âme composite avec plusieurs éléments non dissociables.

La durée de vie d’un matelas

D’une catégorie de matelas à une autre, la durée de vie d’un matelas varie.

Un type de matelas a une durabilité supérieure aux autres catégories de matelas : le matelas en laine.

Il échappe à la logique de l’obsolescence programmée.

Il fait sens s’équiper d’un matelas dont l’espérance de vie du matelas pour mieux savoir quand il sera temps de le changer.

Un matelas qui tient dans le temps.

Choisir la dimension du matelas

Une fois avoir acquis une certaine certitude sur la nécessité de changer de matelas, il s’agit de choisir la taille du matelas.

Vous trouvez autant de tailles de matelas qu’il y a de tailles de lit. Il existe différentes possibilités de tailles pour s’adapter à la situation personnelle du dormeur.

De toute évidence, la taille du matelas est à définir en amont dans votre quête d’une literie selon un ensemble de paramètres.

Si vous souhaitez faire un matelas hors côte (pour un canapé par exemple), nous vous recommandons de vous tourner vers un fabricant de matelas sur mesure et à la demande (comme les ateliers Le Briand) plutôt qu’une marque de literie dont la production est industrialisée ou semi-industrialisée.

Un matelas fait sur mesure rentre en effet dans le cadre de leur processus de confection.

Comment choisir un matelas ?

Si le confort du matelas est votre priorité, nous vous invitons à évualer les 9 caractéristiques qui influencent le confort du lit.

Mêmes Certaines d’entre elles sont d’ailleurs lié uniquement au matelas.

Rien de sorcier mais n’hésitez pas à vous faire aider par le fabricant de matelas.

Dans le cadre d’une fabrication sur mesure, ces caractéristiques sont personnalisables pour obtenir un matelas adapté à votre confort.

Il y a ensuite d’autres critères plus exogènes qui rentrent en compte dans le choix du matelas :

  • le prix d’achat
  • le prix d’usage
  • le prix de la livraison
  • le service client – l’accompagnement
  • le rapport qualité-prix
  • le temps de fabrication
  • l’impact sur l’environnement
  • les conditions de travail
  • le souci du tissu économique national
  • le rapport à la société de consommation

Ces critères vous permettent d’identifier vos besoins et les éléments qui font la différence lors de votre choix.

Sous tous ces angles-là, le matelas de laine n’a rien à envier aux autres types de matelas.

La différence entre le matelas et le futon

Quelques marqueurs de la différence entre le futon et le matelas

  • Le futon n’a pas de bourrelet.
  • Le futon est généralement moins épais que le matelas.
  • Le futon a des bords arrondis alors le matelas a des bords plus carrés.
  • Le futon a généralement une durée de vie, toute chose étant égale par aillleurs.

En savoir plus le futon.

Le matelas en laine

Coup de projecteur sur un type de matelas trop souvent oublié : le matelas en laine naturel, traditionnel et français.

En faisant des recherches sur les différents points d’accès à l’information, nous avons noté que le matelas en laine n’est pas souvent parmi les options de literie listées. Il est quasiment absent depuis longtemps des magasins. Ce type de literie est fait à partir de fibres naturelles.

Nous souhaitons ainsi valoriser cette alternative qui est naturelle, durable, écologique et locale.

De plus, ils sont très confortables, conjuguant soutien ferme et accueil moelleux. C’est une option qui a dû du sens en cas de problèmes de dos par exemple.

Les artisans matelassiers Le Briand fabriquent et réparent des matelas en laine faits à la main et sur mesure, salon une tradition ancestrale française.

En savoir sur le matelas en laine.

En savoir plus sur le processus de fabrication d’un matelas en laine.

Vos questions autour du matelas

Nous répondons régulièrement à vos questions pointues, techniques ou pour laquelle vous n’avez trouvé aucune réponse satisfaisante sur internet ou ailleurs.

Ci-dessous vous trouverez les questions/réponses intéressantes et récurrentes :

N’hésitez pas à nous interroger :

Pour conclure sur le matelas

Le matelas est une pièce nécessaire pour le confort de couchage.

Le matelas est d’ailleurs l’une des variables d’ajustements clés qui est souvent oubliée pour modifier la fermeté et le maintien du matelas, parmi les 9 paramètres importants à ajuster pour un couchage tout confort.

En savoir plus sur le matelas

Mieux connaître le matelas, c’est pouvoir mieux évaluer les options de matelas au moment de choisir le sien.


Tous les autres conseils et guides pratiques sur votre literie